MON AMANT DE SAINT JEAN
Paroles : Léon Angel Musique : Emile Carrara 1942
Chantée par Lucienne Delyle
Je ne sais pourquoi j'allais danser,
A Saint Jean, aux musettes
Mais quand ce gars m'a pris un baiser
J'ai frissonné, j'étais chipée
Comment ne pas perdre la tête
Serrée par des bras audacieux
Car l'on croit toujours
Aux doux mots d'Amour
Quand ils sont dit avec les yeux
Moi qui l'aimait tant
Je le trouvais le plus beau de Saint Jean
Je restais grisée, sans volonté, sous ses baisers
Sans plus réfléchir je lui donnais
Le meilleur de moi-même
Beau-parleur, chaque fois qu'il mentait
Je le savais, mais je l'aimais
Comment ne pas perdre la tête
Serrée par des bras audacieux
Car l'on croit toujours
Aux doux mots d'Amour
Quand ils sont dit avec les yeux
Moi qui l'aimait tant
Je le trouvais le plus beau de Saint Jean
Je restais grisée, sans volonté, sous ses baisers
Mais hélas, à Saint Jean comme ailleurs,
Un serment n'est qu'un leurre
J'avais tort de croire au bonheur
Et de vouloir garder son coeur
Comment ne pas perdre la tête
Serrée par des bras audacieux
Car l'on croit toujours
Aux doux mots d'Amour
Quand ils sont dit avec les yeux
Moi qui l'aimait tant
Mon bel Amour, mon Amour de Saint Jean
Il ne m'aime plus, c'est du passé, n'en parlons plus
Il ne m'aime plus, c'est du passé, n'en parlons plus...
MERCI A VOUS POUR VOTRE VENUE ET VOTRE PARTICIPATION
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LE TOURBILLON DE LA VIE
Paroles: G.Bassiak Musique: Georges Delerue 1962
Bande originale du film "Jules et Jim"
Elle avait des bagues à chaque doigt,
Des tas de bracelets autour des poignets,
Et puis elle chantait avec une voix
Qui, sitôt, m'enjôla
Elle avait des yeux, des yeux d'opale,
Qui m'fascinaient, qui m'fascinaient,
Y'avait l'ovale de son visage pâle
De femme fatale qui m'fut fatale
De femme fatale qui m'fut fatale
On s'est connus, on s'est reconnus,
On s'est perdus de vue, on s'est r'perdus d'vue
On s'est retrouvés, on s'est réchauffés,
Puis on s'est séparés.
Chacun pour soi est reparti.
Dans l'tourbillon d'la vie
Je l'ai revue un soir, aie, aie, aie
Ça fait déjà un fameux bail
Ça fait déjà un fameux bail
Au son des banjos j’les ai reconnus
Ces curieux sourires qui m'avaient tant plu.
Ces voix si fatales, ces beaux visages pâles
M'émurent plus que jamais.
Je m'suis saoulée en les écoutant
L'alcool fait oublier le temps.
Je m'suis réveillée en sentant
Des baisers sur mon front brûlant
Des baisers sur mon front brûlant
On s'est connus, on s'est reconnus.
On s'est perdus de vue, on s'est r'perdus de vue
On s'est retrouvés, on s'est séparés,
Dans l'tourbillon de la vie.
Chacun pour soi est reparti,
Dans l'tourbillon de la vie.
On s’est r’vus ce soir ah là là
On s’est retombés dans les bras
On s’est retombés dans les bras
Quand on s'est connus,
Quand on s'est reconnus,
Pourquoi s' perdre de vue,
Se reperdre de vue ?
Quand on s'est retrouvés,
Quand on s'est réchauffés,
Pourquoi se séparer ?
Alors tous deux on est r'partis
dans l'tourbillon d'la vie
On a continué à tourner
Tous les deux enlacés
Tous les deux enlacés
Tous les deux enlacés
MEDLEY VOYAGE
Extrait - Dalida :
Itsi Bitsi Petit bikini
Sur une plage il y avait une belle fille
Qui avait peur d'aller prendre son bain
Elle craignait de quitter sa cabine
Elle tremblait de montrer au voisin
Un deux trois elle tremblait de montrer quoi ?
Son petit itsi bitsi tini ouini, tout petit, petit, bikini
Qu'elle mettait pour la première fois
Un itsi bitsi tini ouini, tout petit, petit, bikini
Un bikini rouge et jaune à p'tits pois
Son petit itsi bitsi tini ouini, tout petit, petit, bikini
Qu'elle mettait pour la première fois
Un itsi bitsi tini ouini, tout petit, petit, bikini
Un bikini rouge et jaune à p'tits pois
Extrait - Jean-Max Rivière :
Un petit poisson, un petit oiseau
Un petit poisson, un petit oiseau
S'aimaient d'amour tendre
Mais comment s'y prendre,
Quand on est dans l'eau
Un petit poisson, un petit oiseau
S'aimaient d'amour tendre
Mais comment s'y prendre,
Quand on est là-haut
Quand on est là-haut
Perdus aux creux des nuages
On regarde en bas pour voir
Son amour qui nage
Et l'on voudrait bien changer
Au bout du voyage
Ses ailes en nageoires
Les arbres en plongeoir
Le ciel en baignoire
Un petit poisson, un petit oiseau
s'aiment d'amour tendre
Mais comment s'y prendre
quand on est dans l'eau
Extrait - Les parisiennes :
Il fait trop beau pour travailler
Il fait trop beau pour
travailler
Ce s'rait dommage de rester enfermées
Quand le soleil brille dans tous les squares
Et sur les terrasses des grands boulevards
Il fait trop beau pour travailler
Ça c'est un temps à aller se balader
Partons dans la nature et vive la liberté
Il fait trop beau pour travailler
Extrait – Hugues Auffrey :
Santiano
C´est un fameux trois-mâts fin comme un oiseau
Hissez haut Santiano !
Dix huit nœuds, quatre cents tonneaux
Je suis fier d´y être matelot
Tiens bon la vague et tiens bon le vent
Hissez haut Santiano !
Si Dieu veut toujours droit devant
,
Nous irons jusqu’à San Francisco
Je pars pour de longs mois en laissant Margot
Hissez haut Santiano !
D´y penser j'en ai le cœur gros
En doublant les feux de Saint-Malo
Tiens bon la vague et tiens bon le vent
Hissez haut Santiano !
Si Dieu veut toujours droit devant,
Nous irons jusqu’à San Francisco
Charles Aznavour : Emmenez-moi
Vers les docks où le poids et l'ennui
Me courbent le dos
Ils arrivent le ventre alourdi
De fruits les bateaux
Ils viennent du bout du monde
Apportant avec eux
Des idées vagabondes
Aux reflets de ciels bleus
De mirages
Traînant un parfum poivré
De pays inconnus
Et d'éternels étés
Où l'on vit presque nus
Sur les plages
Moi qui n'ai connu toute ma vie
Que le ciel du nord
J'aimerais débarbouiller ce gris
En virant de bord
Emmenez-moi au bout de la terre
Emmenez-moi au pays des merveilles
Il me semble que la misère
Serait moins pénible au soleil
Dans les bars à la tombée du jour
Avec les marins
Quand on parle de filles et d'amour
Un verre à la main
Je perds la notion des choses
Et soudain ma pensée
M'enlève et me dépose
Un merveilleux été
Sur la grève
Où je vois tendant les bras
L'amour qui comme un fou
Court au devant de moi
Et je me pends au cou
De mon rêve
Quand les bars ferment, que les marins
Rejoignent leur bord
Moi je rêve encore jusqu'au matin
Debout sur le port
Emmenez-moi au bout de la terre
Emmenez-moi au pays des merveilles
Il me semble que la misère
Serait moins pénible au soleil
Un beau jour sur un rafiot craquant
De la coque au pont
Pour partir je travaillerai dans
La soute à charbon
Prenant la route qui mène
A mes rêves d'enfant
Sur des îles lointaines
Où rien n'est important
Que de vivre
Où les filles alanguies
Vous ravissent le cœur
En tressant m'a t'on dit
De ces colliers de fleurs
Qui enivrent
Je fuirai laissant là mon passé
Sans aucun remords
Sans bagage et le cœur libéré
En chantant très fort
Emmenez-moi au bout de la
terre
Emmenez-moi au pays des merveilles
Il me semble que la misère
Serait moins pénible au soleil...
UN GAMIN D’PARIS
Paroles : Mick Micheyl Musique : A. Marès 1951
Un gamin d’Paris
C’est tout un poème
Dans aucun pays
Il n’y a le même
Car c’est un Titi
Petit gars dégourdi
Que l’on aime
Un gamin d’Paris
C’est le doux mélange
D’un ciel affranchi
Du diable et d’un ange
Et son œil hardi
S’attendrit devant une oran-an-ge
Pas plus haut que trois pommes
Mais lance un défit
A l’aimable bonhomme
Qui l’appelait « Mon petit »
Un gamin d’Paris
C’est une cocarde
Bouton qui fleurit
Dans un pot d’moutarde
Il est tout l’esprit
L’esprit de Paris qui musa-ar-de
Pantalon trop long pour lui
Toujours les mains dans les poches
On le voit qui déguerpit
Aussitôt qu’il voit un képi
Un gamin d’Paris
C’est tout un poème
Dans aucun pays
Il n’y a le même
Car c’est un Titi
Petit gars dégourdi
Que l’on aime
Il est héritier lors de sa naissance
De tout un passé
Lourd de conséquences
Et ça il le sait
Bien qu’il ignore l’histoire de Fran-ce
Sachant que sur les places
Pour un idéal
Des p’tits gars plein d’audace
A leur façon fir’nt un bal
Un gamin d’Paris
Rempli d’insouciance
Gouailleur et ravi
De la vie qui danse
S’il faut peut aussi
Comm’ Gavroch’entrer dans la dan-se
Un gamin d’Paris
M’a dit à l’oreille
Si je pars d’ici
Sachez que la veille
J’aurai réussi
A mettre Paris en bouteil-eil-le
NINI PEAU D’CHIEN
Paroles et musique : Aristide Bruant 1895
Quand elle était p’tite
Le soir elle allait
A Saint’-Marguerite
Où qu’à s’dessalait :
Maint’nant qu’elle est grande,
Ell’marche le soir
Avec ceux d’la bande
Du Richard-Lenoir
A la Bastille
On aime bien
Nini Peau d’chien
Elle est si bonne et si gentille
On aime bien, Qui ça ?
Nini peau d’chien, où ça ?
A la Bastille
Elle a la peau douce
Aux taches de son
A l’odeur de rousse
Qui donne un frisson
Et de sa prunelle
Aux tons vert-de-gris
L’amour étincelle
Dans ses yeux d’souris,
A la Bastille
On aime bien
Nini Peau d’chien
Elle est si bonne et si gentille
On aime bien, Qui ça ?
Nini peau d’chien, où ça ?
A la Bastille
Quand le soleil brille
Dans ses cheveux roux
L’génie d’la Bastille
Lui fait les yeux doux
Et quand à s’promène
Au bout d’l’Arsenal
Tout l’quartier s’amène
Au coin du Canal
A la Bastille
On aime bien
Nini Peau d’chien
Elle est si bonne et si gentille
On aime bien, Qui ça ?
Nini peau d’chien, où ça ?
A la Bastille
Mais celui qu’à l’aime
Qu’elle a dans la peau
C’est Bibi la crème
Le roi des costauds
Car ça c’est un homme
Qu’a pas les foies blancs
Aussi faut voir comme
Elle l’a dans le sang
A la Bastille
On aime bien
Nini Peau d’chien
Elle est si bonne et si gentille
On aime bien, Qui ça ?
Nini peau d’chien, où ça ?
A la Bastille
TROIS PETITES NOTES DE MUSIQUE
Paroles : Henri Colpi Musique : Georges Delerue 1961
Trois petites notes de musique
Ont plié boutique
Au creux du souvenir
S'en est fini d'leur tapage
Elles tournent la page
Et vont s'endormir
Mais un jour sans crier gare
Elles vous reviennent en mémoire
Toi, tu voulais oublier
Un p'tit air galvaudé
Dans les rues de l'été
Toi, tu n'oublieras jamais
Une rue, un été
Une fille qui fredonnait
La, la, la, la, je vous aime
Chantait la rengaine
La, la, mon amour
Des paroles sans rien d' sublime
Pourvu que la rime
Amène toujours
Une romance de vacances
Qui lancinante vous relance
Vrai, elle était si jolie
Si fraîche épanouie
Et tu n’l'as pas cueillie
Vrai, pour son premier frisson
Elle t'offrait une chanson
A prendre à l'unisson
La, la, la, la, la tout rêve
Rime avec s'achève
Le tien n'rime à rien
Fini avant qu'il commence
Le temps d'une danse
L'espace d'un refrain
Trois petites notes de musique
Qui vous font la nique
Du fond des souvenirs
Lèvent un cruel rideau d’ scène
Sur mille et une peines
Qui n'veulent pas mourir
LE TOURBILLON DE LA VIE
Paroles: G.Bassiak Musique: Georges Delerue 1962
Bande originale du film "Jules et Jim"
Elle avait des bagues à chaque doigt,
Des tas de bracelets autour des poignets,
Et puis elle chantait avec une voix
Qui, sitôt, m'enjôla
Elle avait des yeux, des yeux d'opale,
Qui m'fascinaient, qui m'fascinaient,
Y'avait l'ovale de son visage pâle
De femme fatale qui m'fut fatale
De femme fatale qui m'fut fatale
On s'est connus, on s'est reconnus,
On s'est perdus de vue, on s'est r'perdus d'vue
On s'est retrouvés, on s'est réchauffés,
Puis on s'est séparés.
Chacun pour soi est reparti.
Dans l'tourbillon d'la vie
Je l'ai revue un soir, aie, aie, aie
Ça fait déjà un fameux bail
Ça fait déjà un fameux bail
Au son des banjos j’les ai reconnus
Ces curieux sourires qui m'avaient tant plu.
Ces voix si fatales, ces beaux visages pâles
M'émurent plus que jamais.
Je m'suis saoulée en les écoutant
L'alcool fait oublier le temps.
Je m'suis réveillée en sentant
Des baisers sur mon front brûlant
Des baisers sur mon front brûlant
On s'est connus, on s'est reconnus.
On s'est perdus de vue, on s'est r'perdus de vue
On s'est retrouvés, on s'est séparés,
Dans l'tourbillon de la vie.
Chacun pour soi est reparti,
Dans l'tourbillon de la vie.
On s’est r’vus ce soir ah là là
On s’est retombés dans les bras
On s’est retombés dans les bras
Quand on s'est connus,
Quand on s'est reconnus,
Pourquoi s' perdre de vue,
Se reperdre de vue ?
Quand on s'est retrouvés,
Quand on s'est réchauffés,
Pourquoi se séparer ?
Alors tous deux on est r'partis
dans l'tourbillon d'la vie
On a continué à tourner
Tous les deux enlacés
Tous les deux enlacés
Tous les deux enlacés